Après une grande série au feutre et au pinceau, cherchant l’aléatoire, je m’en suis affranchie pour dessiner avec des fils, du raphia, un morceau de tissu ou des languettes de papier. La main étant soudain confrontée au manque de maîtrise de l’outil, c’est l’œil qui prend le relai. Une composition, dont les formes sont générées par les mouvements donnés à l’objet chargé d’encre, se dessine sur le papier avec un ensemble d’imprévus.